Temps mort
Seize heures. Yann avait toujours eu l’obsession de la ponctualité. Comme à son habitude, il était arrivé en avance au rendez-vous et il attendait Olivier depuis dix minutes, debout près d’un banc du square de la Corderie. Il pensait aux arbres qui avaient déjà retrouvé leur feuillage en ce printemps précoce. Nous n’étions qu’en avril…